C’est un travail qui questionne
la fragilité
comme composante fondamentale
et inhérente au vivant,
matière mouvante, émouvante
et à son rapport au temps.
Ce sont de grandes feuilles
suspendues dans l’instant,
comme on déposerait
des pans de peaux
pour mieux mettre à nu l’âme.
La peau de l’âme.
la fragilité
comme composante fondamentale
et inhérente au vivant,
matière mouvante, émouvante
et à son rapport au temps.
Ce sont de grandes feuilles
suspendues dans l’instant,
comme on déposerait
des pans de peaux
pour mieux mettre à nu l’âme.
La peau de l’âme.
« Le baiser de la lune » • Les peaux de l’âme • 2016 • fibre de Kozo • 190 x 80 cm
« Autoportrait » • Les peaux de l’âme • 2017 • fibre de Kozo • 175 x 50 cm
« Concrétions intimes » • Les peaux de l’âme • 2017 • fibre de Kozo • 164 x 89 cm